Manque de vision et de perspective, aveuglement et idéologie politique amènent la municipalité de Jouy en Josas à augmenter les impôts locaux en 2022

Ça se passe à Jouy en Josas avec les bons voeux de Mme la Maire

+25% des impôts locaux (Taxe foncière)
+60% de la taxe sur les résidences secondaires (non-habitées)
+20% de la taxe d’aménagement dans le secteur du Petit Robinson

Alors que François DE MAZIERES maire de Versailles se félicite, grâce à des efforts de gestion, de ne pas avoir augmenté les impôts locaux dans sa ville depuis dix ans malgré de fortes difficultés financières et le retrait des subventions de l’Etat, 

alors que la maire des Loges en Josas, Caroline DOUCERAIN, confirme la stabilité des impôts dans sa commune, 

alors que Pascal THEVENOT maire de Vélizy fait de même, 

Marie-Hélène AUBERT maire de Jouy en Josas reprend pleinement et joyeusement à son compte la phrase de son adjoint aux finances Marc BODIN, prononcée lors du conseil municipal du 13 décembre 2021 pour justifier la décision d’augmenter la Taxe foncière de 1,080M€ soit 25% : « ...actuellement les familles vivent grand train et ne se rendent pas bien compte que les services que l’on rend aux familles coûtent plus que ce qu’elles financent » (dixit).

Après le massacre de l’esprit village et celui de zones humides en signant l’édification par Franco-Suisse, d’une barre de 7 immeubles de 15 m de haut en zone inondable dans le cœur de Jouy en Josas, après la collectivisation du bien privé en attribuant un droit de préemption permanent à l’EPFIF (société de portage financier pour favoriser le logement social, entraînant inévitablement la baisse du coût du foncier) sur l’ensemble de la commune de Jouy en Josas, la mairie décide un véritable matraquage fiscal en 2022 pour tenter de combler le « trou dans la caisse » des comptes publics de la mairie.

ATTENTION, ce n’est pas que pour 2022 ! Cette augmentation devient le nouveau taux d’imposition jusqu’à la prochaine augmentation. Par ailleurs et compte tenu des hypothèses d’investissements non financés de la commune, la probabilité pour les jovaciens que les impôts continuent d’augmenter encore les autres années du mandat est très élevée.

Pour éviter ce matraquage fiscal, les élus d’Un Avenir Pour Jouy ont proposé une solution simple : revendre le terrain des Metz (4816 m²) préempté par la mairie au prix abyssal de 1,6M€ (330€/m²) pour y implanter une ferme urbaine, la plus chère de France, et dont la surface est de surcroît insuffisante pour un tel projet !

Ce terrain va continuer à générer d’importantes dépenses publiques supplémentaires (environ 1M€ selon notre estimation). En le revendant la commune récupérerait 1,6M€, soit un excédent de 600K€ sur le prélèvement fiscal qu’elle a voté pour 2022. Nous éviterions ainsi le QUOIQU’IL VOUS EN COÛTE SANS RAISON VALABLE.

Janvier 2022